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Comment une trahison à notre constitution a-t-elle pu passer inaperçu ? Le sénateur Krieger nous offre une analyse de ce qui a, selon lui, permis à Nicki Nakajima de trahir le plus haut texte de notre pays. Il revient en profondeur sur une affaire passée sous les radars, seulement pour USAtoday.
Tout commence le dimanche 2 août 2020. Nikki Nakajima, alors lieutenant gouverneur dépose une proposition de loi relative à l'activité des sénateurs. « Une loi de noble ambition » selon le sénateur Kriger. « Pour faire très court, et en extrapolant volontairement les intentions de la dépositaire, cette loi avait pour objectif de faire se remuer les sénateurs pour que les absentéistes à répétition ne soient plus payés à ne rien faire. ». Cette loi dont le code LA29072020 fut attribué prévoit effectivement de mettre un terme au mandat de tout sénateur n'ayant voté durant 3 votes consécutifs. John Krieger ajoute : « Outre les critiques que l'on peut faire sur le flou de cette loi (est-ce qu'un sénateur présent lors du vote mais souhaitant s'abstenir est noté absentéiste ? est-ce qu'un sénateur gravement atteint par la maladie est concerné ?), Madame Nakajima a fait preuve d'un engouement tout particulier pour la mise en place de cette loi. Est-ce ce qui l'a poussé à trahir notre constitution, je ne préfère pas l'affirmer. Ceci étant, la mise en place de cette loi semblait lui convenir tout particulièrement. »
Nikki Nakajima, Lieutenant Gouverneur en ce temps déclare l'ouverture des votes précisément deux jours après la proposition de loi. Selon le sénateur Krieger « Ici, il y'a une première violation de la constitution, qui n'a cependant pas été notée par les sénateurs présent. Effectivement, le madame Nakkajima n'a pas ouvert les débats et s'est - et c'est ici que c'est paradoxal - permise de débattre, visiblement avec elle-même, selon les notes de la greffière. Madame Nakajima prend le micro et invective les sénateurs, elle leur somme de réagir face aux sénateurs absents aux séances de vote. Tout cela sans jamais ouvrir les débats. On constate ici une violation à l'Article III-4 du Chapitre III de la constitution de San Andreas. Mais elle ne s'arrête pas là... »
« Elle ouvre alors les votes, 48 heures après comme susmentionné. Les votes se déroulent dans un calme harmonieux, il n'y a pas de vague, aucune intervention inappropriée comme on en connaît parfois, c'est une séance de vote idéale. Tellement idéale qu'elle semble en avoir fait perdre ses esprits à la lieutenant gouverneur. Madame Nakajima clos les votes 48 heures après leur ouverture, conformément à la constitution qui régit notre État. Les sénateurs ayant votés, elle annonce les résultats.
Je cite l'annonce de madame Nakajima ainsi qu'elle fût rapportée par la greffière,
« Pour n'importe quelle personne intéressée par la politique de notre État, une chose gravissime saute aux yeux. La loi est "adoptée" nous annonce la lieutenant gouverneur Nakkajima : 36% de votes POUR, 64% d'ABSTENTION et 0% de CONTRE.
La constitution de San Andres requiert cependant une condition immuable pour qu'une loi soit adoptée :
Ici, bien DEUX tiers des sénateurs se sont abstenus de voter. Pourtant la loi est adoptée. Elle est d'ailleurs en vigueur dans notre État. Nikki Nakajima a alors violée une DEUXIEME FOIS la constitution, et ceci en une seule proposition de loi. »
John Krieger conclut : « Si les citoyens de San Andreas ne peuvent pas même se fier aux sénateurs qu'ils ont élu, à qui peuvent-ils se fier ? Je ne poursuivrai pas madame Nakkajima en justice, ce n'est pas mon rôle. Mais le fait qu'aucun sénateur présent alors n'ait réagit relève leur nonchalance profonde envers les lois de notre État qu'ils se sont engagés à respecter.
Comment une trahison à notre constitution a-t-elle pu passer inaperçu ? Le sénateur Krieger nous offre une analyse de ce qui a, selon lui, permis à Nicki Nakajima de trahir le plus haut texte de notre pays. Il revient en profondeur sur une affaire passée sous les radars, seulement pour USAtoday.
« Quand je vois de telles crapules dénoncer le gouverneur Jiang et demander sa déstitution, ça me peine. »
J. Krieger
J. Krieger
Tout commence le dimanche 2 août 2020. Nikki Nakajima, alors lieutenant gouverneur dépose une proposition de loi relative à l'activité des sénateurs. « Une loi de noble ambition » selon le sénateur Kriger. « Pour faire très court, et en extrapolant volontairement les intentions de la dépositaire, cette loi avait pour objectif de faire se remuer les sénateurs pour que les absentéistes à répétition ne soient plus payés à ne rien faire. ». Cette loi dont le code LA29072020 fut attribué prévoit effectivement de mettre un terme au mandat de tout sénateur n'ayant voté durant 3 votes consécutifs. John Krieger ajoute : « Outre les critiques que l'on peut faire sur le flou de cette loi (est-ce qu'un sénateur présent lors du vote mais souhaitant s'abstenir est noté absentéiste ? est-ce qu'un sénateur gravement atteint par la maladie est concerné ?), Madame Nakajima a fait preuve d'un engouement tout particulier pour la mise en place de cette loi. Est-ce ce qui l'a poussé à trahir notre constitution, je ne préfère pas l'affirmer. Ceci étant, la mise en place de cette loi semblait lui convenir tout particulièrement. »
Nikki Nakajima, Lieutenant Gouverneur en ce temps déclare l'ouverture des votes précisément deux jours après la proposition de loi. Selon le sénateur Krieger « Ici, il y'a une première violation de la constitution, qui n'a cependant pas été notée par les sénateurs présent. Effectivement, le madame Nakkajima n'a pas ouvert les débats et s'est - et c'est ici que c'est paradoxal - permise de débattre, visiblement avec elle-même, selon les notes de la greffière. Madame Nakajima prend le micro et invective les sénateurs, elle leur somme de réagir face aux sénateurs absents aux séances de vote. Tout cela sans jamais ouvrir les débats. On constate ici une violation à l'Article III-4 du Chapitre III de la constitution de San Andreas. Mais elle ne s'arrête pas là... »
« Elle ouvre alors les votes, 48 heures après comme susmentionné. Les votes se déroulent dans un calme harmonieux, il n'y a pas de vague, aucune intervention inappropriée comme on en connaît parfois, c'est une séance de vote idéale. Tellement idéale qu'elle semble en avoir fait perdre ses esprits à la lieutenant gouverneur. Madame Nakajima clos les votes 48 heures après leur ouverture, conformément à la constitution qui régit notre État. Les sénateurs ayant votés, elle annonce les résultats.
Je cite l'annonce de madame Nakajima ainsi qu'elle fût rapportée par la greffière,
Rapport de la greffière en charge a écrit:
La présidente du sénat déclare le projet de loi
LA - 29072020- Loi relative à l'activité des sénateurs acceptée.
« Pour n'importe quelle personne intéressée par la politique de notre État, une chose gravissime saute aux yeux. La loi est "adoptée" nous annonce la lieutenant gouverneur Nakkajima : 36% de votes POUR, 64% d'ABSTENTION et 0% de CONTRE.
La constitution de San Andres requiert cependant une condition immuable pour qu'une loi soit adoptée :
Constitution de San Andreas a écrit:Si moins d'un tiers des sénateurs n'a voté la loi, elle est refusé.
Ici, bien DEUX tiers des sénateurs se sont abstenus de voter. Pourtant la loi est adoptée. Elle est d'ailleurs en vigueur dans notre État. Nikki Nakajima a alors violée une DEUXIEME FOIS la constitution, et ceci en une seule proposition de loi. »
John Krieger conclut : « Si les citoyens de San Andreas ne peuvent pas même se fier aux sénateurs qu'ils ont élu, à qui peuvent-ils se fier ? Je ne poursuivrai pas madame Nakkajima en justice, ce n'est pas mon rôle. Mais le fait qu'aucun sénateur présent alors n'ait réagit relève leur nonchalance profonde envers les lois de notre État qu'ils se sont engagés à respecter.
« Quand je vois de telles crapules dénoncer le gouverneur Jiang et demander sa déstitution, ça me peine. »
J. Krieger
J. Krieger